Le gouvernement d’Aziz Akhannouch est-il en train de perdre la confiance de la population au Maroc ? Découvrez les critiques cinglantes de l’opposition !
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Ah, le Maroc ! Terre de contrastes où les saveurs politiques sont aussi variées que les épices de ses souks animés. En ce moment, tous les regards sont tournés vers Aziz Akhannouch, ce premier ministre aux commandes du navire marocain. Mais attention, la mer semble de plus en plus agitée ! Les marocains, armés de leur esprit critique et de leur passion pour la justice, commencent-ils à douter de leur capitaine ? Accrochez-vous à votre fez, car nous plongeons dans l’univers tumultueux de la politique marocaine où l’opposition ne manque pas de lancer des flèches acérées. Êtes-vous prêts à découvrir les critiques cinglantes qui fusent de toutes parts ? Suivez le guide !
Des Chiffres Alarmants qui Interpellent
Quand on jette un œil aux statistiques récentes, rien ne va plus sous le soleil marocain. Aziz Akhannouch, depuis son pouvoir hérité des urnes en 2021, semble naviguer dans un bateau chahuté par les vagues de l’insatisfaction populaire. Le taux de chômage, par exemple, a atteint un pic historique de 13,7 % au premier trimestre de cette année, mettant le premier ministre et son équipe dans l’embarras.
Des Promesses En L’Air
Les promesses, c’est bien, mais quand elles planent dans le flou artistique des non-réalisations, l’effet est carrément démoralisant. Aziz Akhannouch avait engagé sa parole à créer un million d’emplois nets durant son mandat de cinq ans. Or, les chiffres que le Haut-Commissariat au Plan (HCP) a sortis récemment de son chapeau noir, sont loin du compte de fée promis : une réduction nette de 160 000 emplois en 2023, scandaleusement complétée par plus de 20 000 pertes l’année précédente.
Une Jeunesse Laissez-Pour-Compte
Les plus jeunes, avenir de toute nation, semblent être les premiers oubliés. Un rapport accablant du Conseil économique, social et environnemental (CESE) spotte 1,5 million de jeunes, soit un quart des 15-24 ans, absolument désoeuvrés – sans emploi, sans études, sans formation. La persistance de la sécheresse agrave encore la situation, avec presque un million d’emplois ruraux disparus entre 2016 et 2023.
L’Opposition Sort les Griffes
- Des accusations de « faux-semblant » et de « déni de réalité » viennent émailler les discours de l’opposition, notamment lors de la présentation récente du bilan du gouvernement.
- Des propositions de motion de censure, même sciemment abandonnées, signalent un malaise perceptible même dans les rangs les plus optimistes.
- Les lettres ouvertes deviennent les nouvelles tribunes de fronde, un moyen pour l’opposition, comme le Parti du progrès et du socialisme (PPS), d’exiger un virage à 180 degrés dans les politiques menées par le gouvernement.
Des Projets de Grande Envergure, Suffisants?
En réponse, le gouvernement Akhannouch met tous ses espoirs dans de grands projets d’infrastructures, tels que la Coupe du monde de football 2030 ou l’autoroute électrique reliant Dakhla à Casablanca. Ces initiatives, nécessitant des investissements de plus de 200 milliards de dirhams, promettent une bouffée d’oxygène. Toutefois, les doutes persistent : est-ce suffisant pour redorer le blason d’un gouvernement à la cote de popularité en berne ?
Pendant que le gouvernement forge ses armes pour la prochaine campagne électorale à moins de deux ans, la question demeure : Akhannouch parviendra-t-il à renverser la vapeur de ce mécontentement grandissant ou la scène politique marocaine est-elle à l’aube d’un changement radical?
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